ACQUIS RIEN EST ACQUIS
Je suis en rade Mon camarade Je ne crois pas ce que je vois Les camarades n'ont plus la voix De la bataille Je suis en rade Mon camarade Devant si peu de conviction A brandir le poing de l'action De la bataille
Acquis tous les acquis Les luttes, les luttes de nos aînés Acquis rien est acquis Tout se perd, tout se perd sans lutter pour gagner
Il y avait des rêves qui prenaient jour sous nos yeux Il y avait des rêves bâtis sur l'idée rouge des vieux C'étaient nos rêves, libres à vivre meilleurs Des rêves qui élèvent les hommes, les femmes, les travailleurs
Avant, on se battait pour avoir mieux Aujourd'hui on se bat pour garder ce que l'on a Ils étaient bien plus jeunes nos vieux De communes en communes, de combat en combat
Il y avait des rêves qui prenaient jour sous nos yeux Il y avait des rêves bâtis sur l'idée rouge des vieux C'étaient nos rêves, libres à vivre meilleurs Des rêves qui élèvent les hommes, les femmes, les travailleurs
Acquis rien est acquis Tout se perd, tout se perd sans lutter pour gagner
Auteur, compositeur : Denis CARNEVALI
A mes camarades qui luttent pour le progrès de l'humanité solidaire les uns des autres . Les fondements même de notre société sont remis en cause par les défenseurs d'un monde économique ou le plus puissant veut profiter de plus en plus, du plus faible. Savoir gouverner, c'est savoir écouter, c'est savoir défendre les plus démunis, c'est savoir protéger la culture, l'éducation, le travail et la dignité de chaque personne. C'est savoir mettre au dessus de tout, les valeurs de notre république « Liberté, égalité, fraternité, laïcité » Denis Carnevali
Denis Chansons
Création de l'article : 17 juillet 2003
Dernière mise à jour : 15 juillet 2003
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> Acquis rien est acquis
18 juillet 2003, par
Merci pour ce texte. Bien sûr qu'il faut se battre, c'est pour cela que je suis en train de vous lire, c'est pour cela que je suis bénévole pour l'organisation du Larzac 2003. Bien sûr qu'il faut changer cette société qui, sous prétexte de notre plus grand bien ! ! ! !, nous individualise (chacun dans sa petite auto, dans son petit métro, dans son petit ascenceur, devant sa petite télé - moi, le premier, évidemment ! !)et nous sépare les uns des autres. _ Que penser aussi de ce gouvernement qui supprime 84 spécialités pharmaceutiques soi disant obsolètes et désuétes et recommande aux médecins de prescrire leurs remplaçantes modernes plus onéreuses et surtout encore protégées, pour le plus grand profit des groupes pharmaceutiques. _ Allez, à bientôt sur le Larzac._Bernard LEQUESNE
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