analyse du mouvement de grève dans l'éducation : le cas des Alpes de Haute Provence

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3 août 2003, par

Je suis globalement d'accord avec l'analyse formulée ici si ce n'est le distingo permanent entre "grands syndicats" et sud qui n'auraient pas d'objectifs de contrôle ou qu'une participation neutre et désintéréssée au mvt. En ce qui me concerne , j'appartiens à un syndicat (SNEP-FSU) qui fait partie d'une grde fédé nationale. Mais en local, ce qui m'a davantage animé n'est surement pas la stratégie syndicale, mais la rencontre , le respect et la qualité des débats ( dont l'apport et l'implication essentiels de plusieurs non-syndiqués). c'est à ce niveau de militantisme que je reconnais ma démarche syndicale : quand au niveau national et aux prises de décisions que j'ai été le premier à ne pas comprendre, je m'en remets aux collègues qui ont , à leur niveau surement les mêmes difficultés que nous pour analyser le rapport de forces. ce qui est sûr, c'est que nous avons à construire( comment ?) le lien entre le local et le national car l'organisation des prises de décisions doit être plus partagée et plus rapide. ( ex : nous allions chercher sur les sites syndicaux des infos que nous ne trouvions pas et que des réseaux locaux diffuser déjà......ceci peut poser le pb de la véracité et de la manipulation des infos que nous recevons)

Patrice FRAPPAT membre du collectif mai social 07 ( ardèche nord ANNONAY) p-s : les quelques non syndiqués très impliqués ds le mvt ont annoncé en AG leur future syndicalisation ce qui tend à démontrer montre la qualité du débat démocratique de notre collectif.

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