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OGM : plus d’espoir pour le référendum local dans le Gers |
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Communiqué
Le Gouvernement ferme les portes du débat démocratique et ouvre les vannes de la prolifération des OGM en France
Après les maires, dont les arrêtés sont cassés les uns après les autres, après les parlementaires que le Gouvernement a privé d’un débat public sur la transposition d’une directive européenne, ce sont désormais les citoyens qui voient s’évanouir l’une des dernières chances de pouvoir s’exprimer démocratiquement sur la présence d’essais OGM en plein champ.
Mardi 3 avril 2007, dans le jugement en appel de la Cour Administrative de Bordeaux portant sur la décision du Conseil Général du Gers d’organiser le premier référendum départemental sur les essais OGM en plein champ, les conclusions du Commissaire du Gouvernement ne laissent aucun espoir aux 16 312 pétitionnaires (12.5% du corps électoral gersois) qui avaient soutenu cette initiative citoyenne.
En menant une véritable guérilla juridique contre une collectivité locale coupable d’avoir cru que « décentraliser » rimait encore avec « liberté », en réclamant l’interdiction du référendum gersois, le Gouvernement a choisi de mettre un terme à un débat dont notre Pays ne pourra s’exonérer, sauf à bafouer les principes mêmes de la Charte de l’environnement inscrits dans notre Constitution, et en particulier le « principe de précaution ».
Privés de débat au Parlement, privés de référendum citoyen, nos compatriotes auront, le 22 avril prochain, l’occasion de s’opposer dans les urnes à la prolifération anarchique et irresponsable des cultures OGM en plein champ dans tout notre pays, prolifération soutenue par le Gouvernement et Nicolas Sarkozy.
Philippe MARTIN
Député
Président du Conseil Général du Gers
Auteurs divers
Création de l'article : 3 avril 2007
Dernière mise à jour : 3 avril 2007
Page visitée 277 fois (1)
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MEETING (EN LIGNE) POUR LA REVOLUTION ECOLOGIQUE
5 avril 2007
SUIVEZ EN DIRECT LE MEETING POUR LA REVOLUTION ECOLOGIQUE AVEC DOMINIQUE VOYNET
JEUDI 5 AVRIL 2007 A 20H EN LIGNE LE MEETING DES VERTS
20h Paris, salle de la Mutualité,
avec
Cécile Duflot, secrétaire nationale des Verts,
Alain Lipietz, député européen,
Denis Baupin, adjoint au Maire de Paris,
Yves Cochet, député de Paris,
Suzanne Auger, secrétaire régionale des Verts d’Île-de-France,
Monique Vuaillat, ancienne responsable de la FSU (Fédération syndicale unitaire-éducation)
Régis Hochart, porte-parole national de la Confédération Paysanne,
Sébastien Genest, Président de France Nature Environnement,
Juan Carlos Lecompte, époux d’Ingrid Betancourt
http://direct.voynet2007.fr/
ou
http://blog.voynet2007.fr/
PS : ne pas oubliez d’installer d’installer le plugin VideoLAN...et dans certain cas (notamment avec « GDATA ») désactivez le pare-feu et conservez seulement celui de Windows le temps du meeting.
Pour le direct à 20h
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OGM : plus d’espoir pour le référendum local dans le Gers
5 avril 2007, par
Voici donc la vision démocratique d’un député (rappel : dont le rôle est de participer au travail législatif en déposant des propositions de loi, voter la loi et contrôler l’action du gouvernement.) qui initie ou cautionne des actions non légales.... !!!
Il n’y aurait pas eu assez de débats semble t-il ? ... Arrêtons les frais !. Il n’y a pas de sujets qui aient fait l’objet d’autant de débats ces dix dernières années. La première conférence citoyenne, jamais organisée (par le député J-Y le Déaut) en France, l’a été sur ce sujet. Il y a eu des centaines (sans doute même des milliers) de débats publics sur les OGM partout en France (sans compter les 60 officiels qu’avait organisé Madame le Branchu). Il y a un nombre de réglementations considérables les concernant qui ont (théoriquement) dû faire l’objet de débats démocratiques au minimum dans les enceintes officielles françaises et européennes.
Mais bref, il en faudrait encore d’autres... ! Eh bien d’accord, mais alors pour montrer aux citoyens qu’ils ont été bernés, trompés par des associations verdâtres qui crient au loup depuis 12 ans et dont le fond de commerce est de faire peur !. Pour leur montrer par des faits, des preuves scientifiques que les OGM ne sont pas dangereux, qu’ils représentent un réel progrès pour l’amélioration des variétés cultivées, qu’ils ont une meilleure empreinte écologique, qu’ils apportent leur pierre à la lutte contre le réchauffement climatique (moins d’intrants), qu’ils ne contribuent aucunement à la diminution de la biodiversité, qu’il n’y a rien de mieux et autant contrôlé qu’eux avant mise sur le marché. Ce qui paradoxalement en fait ce qu’il y a de plus sûr !
Ainsi, Monsieur le Député se réfugie derrière le principe de précaution, mais il n’a, alors, pas compris sa signification. Pour lui, il faudrait sans doute faire un moratoire (5 ans ?, on vient de sortir d’un autre l’an passé) consistant à ne rien faire... et après, au bout de ces années, on fait quoi ?... :
On en sera au même point qu’aujourd’hui !
* Que pourra t-on apporter comme réponse nouvelle ?. C’est vraiment une attitude non responsable et de plus anti-scientifique ! Le comble, c’est que la France (voire l’Europe) en est toujours à discuter d’essais au champ alors que l’an passé les PGM couvraient 102 millions d’ha dans le monde, cultivés dans 20 pays par 10 millions d’agriculteurs dont 90% dans les PeD.
* Que la France va perdre non seulement du temps avec un moratoire mais aussi ses dernières compétences en matière de création variétale et au final ses marchés alors qu’elle se situait à une très bonne place au niveau mondial !
Ensuite, osez dire qu’il y a prolifération anarchique et irresponsable des OGM en France relève tout simplement du mensonge. Car je suis sûr que Monsieur le Député n’ignore aucunement la procédure conduisant à réaliser des essais au champ pour les PGM. Il m’étonnerait qu’il n’ait pas dans ses dossiers (ou, au minimum, connaissance) le modèle du dossier « SNIF », très lourd et contraignant qui doit être réalisé par tout demandeur voulant faire un essai. Il n’est pas non plus sans ignorer comment se prennent les décisions d’essais.
Ainsi, en quelques mots, il nie le travail d’un grand nombre de personnes (experts de diverses instances d’évaluation, personnes des services de différents ministères) qui seraient alors toutes des anarchistes et des irresponsables ???.
Si on ne peut exiger d’un politique qu’il ait une connaissance approfondie de tous les sujets, il est, par contre, de sa responsabilité de prendre des décisions en ayant une connaissance minimale des dossiers. Car il ne s’agit pas de prendre des décisions en fonction de sondages résultant d’un matraquage médiatique de dénigrement systématique des OGM depuis 10 ans qui n’a fait qu’avancer, pour toute argumentation, que des mensonges et en jouant sur les aspects émotionnels (peur). Nos dirigeants n’ont pas à céder à la tentation obscurantiste si prégnante actuellement dans certains milieux sur ce sujet.
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OGM : plus d’espoir pour le référendum local dans le Gers
5 avril 2007, par Pitchounet
( En réponse à la réponse)
Irresponsables, sans doute ... mais anarchistes, certainement pas.
Les OGM ne sont d’aucune utilité sociale, et ce n’est pas en donnant des arguments comme le retard pris sur les OGM par la France qui changera grand chose. Car de quel retard s’agit-il ?
Un retard marchand ! Et cela n’est pas à en prendre en compte losqu’il s’agit d’une catastrophe écologique annoncée.
Que les chercheurs cherchent, ce n’est pas un problème. Que les grandes firmes transnationales en vendent, ça c’est un gros problème.
Le peuple Français n’a pas à accepter ce qu’il ne veut pas, sous prétexte de marché perdu par des multinationales.
Si les économistes ne sont pas content, ils n’ont qu’à changer de boulot.
Quand les chercheurs auront fait tous les tests possibles et imaginables, alors ils n’auront qu’a soumettre leurs résultats au peuple et le peuple tranchera. Pour l’instant, il n’y a pas d’information suffisamment claire et la manière de procéder est des plus obscure ...
Certains passent pour des obscurantistes de la sciences, mais d’autres sont des obscuratistes de la démocratie. Mot qu’ils ne prononcent jamais sauf pour soigner leurs intérets.
Cette manière autoritaire d’imposer des choix aussi important est intolérable et que cela vous plaise ou non, nous continuerons ce combat car il est fondé. Les OGM, eux, ne le sont meme pas ....
Pour finir, vos affirmations quand à la dissémination bien controlée, ça frise le comique ... car vous n’ignorez pas qu’il suffit d’une distance de 50 mètres entre un champ d’OGM et le reste du monde. Vous devez travailler dans un bureau pour ne pas savoir que cette distance est largement insuffisante et que le pollen, c’est pas comme les ondes radioactives de Tchernobyl, ça s’arrete pas aux limites tracées par les hommes .... Le vent ou les insectes transportent beaucoup plus loin ... meme très loin.
Vous devriez visiter un champ de mais OGM, vous verriez que le monde réel est très complexe et vos calculs n’y changeront rien !
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OGM : plus d’espoir pour le référendum local dans le Gers
6 avril 2007, par
Les plus irresponsables sont en l’occurrence vous, mais lorsqu’on est dans une stratégie d’escalade d’engagement sur des bases fausses, on ne peut que s’attendre de votre part à une réponse qui vous présente comme ceux qui ont raison... ! A la limite, ce n’est pas le plus important (quoique !). Ce qui est bien (mais au final plutôt malheureux) c’est qu’à chaque fois que vous vous exprimez et c’est encore plus vrai par écrit, vous montrez d’une part votre méconnaissance de la problématique et d’autre part les erreurs donc que vous commettez.
Méconnaissance totale de la problématique : En effet, vient l’inévitable et récurrent argument de l’inutilité des PGM. En dehors du fait que ceux-ci progressent partout dans le monde (sans doute en raison même de leur inutilité, n’est-ce pas !) lorsque vous aurez entrevu et compris que nous avons besoin en permanence de nouvelles variétés, vous vous poserez ensuite, j’espère, la question de savoir comment créer ces nouvelles variétés devant répondre à de multiples critères agronomiques et qualitatifs. Je serai intéressé que vous m’expliquiez pourquoi, depuis des décennies, de 300 à 400 nouvelles variétés sont mises sur le marché chaque année rien qu’en France (et c’est totalement indépendant d’un aspect commercial). Je serai intéressé que vous m’expliquiez comment on améliore les plantes, combien de temps cela prend, quel est le taux de réussite, quelles compétences cela demande. Alors lorsqu’on a maintenant à sa disposition la technique d’amélioration la plus performante et la plus fiable qui ait jamais existé, on voit mal un retour en arrière au niveau mondial (C’est à peu près du même ordre que si vous demandiez à tous les utilisateurs de traitement de texte de reprendre une machine à écrire mécanique).
Par ailleurs, quelle catastrophe annoncée ?, la vôtre et celle de tous les Cassandre qui jouent à se faire peur. Vous instrumentalisez en permanence les angoisses collectives mais ce faisant vous ne résolvez rien. On se demande quelle est la particularité des PGM qui pourraient entraîner une catastrophe écologique supérieure à celle qui a consisté, depuis des millénaires, à cultiver de nouvelles variétés sans cesse améliorées. Si il y a une chose de sûre, c’est que l’homme, avec l’agriculture, a contribué à augmenter significativement la biodiversité des espèces sauvages qu’il a domestiqué.
Preuve de votre méconnaissance encore, vous semblez ignorer totalement tous les tests qui sont faits sur les PGM avant de les mettre sur le marché. Il serait assez difficile de faire plus que ce qui est déjà fait actuellement !
Vous écrivez ensuite « ... que cela vous plaise ou non, nous continuerons ce combat car il est fondé », superbe, quel beau raisonnement tautologique !
Preuve de votre méconnaissance encore, non seulement je n’ignore pas les distances d’isolement lors des essais mais en plus vous donnez des informations mensongères (une fois de plus, mais comme c’est constant chez vous, cela ne vous gêne plus, vous ne vous en rendez plus compte). Apprenez que lorsque la CGB demande pour un essai une distance d’isolement de 200m, le gouvernement qui, in fine, décide de l’autorisation de l’essai double la distance (afin d’ouvrir un peu plus le parapluie), alors 400m, c’est 8 fois 50m.
Ensuite, vous me prêtez des propos que je n’ai pas donné dans ma réponse au député, je n’ai pas parlé de dissémination bien contrôlée ou de calculs dont je ne fais nullement état ... mais passons encore.
Par contre, on va revenir sur l’aspect dissémination et justement dans le cas du maïs pour rappeler quelques évidences inconnues des faucheurs bien qu’allant dans les champs.
Depuis le temps qu’on cultive des maïs en France, je n’ai jamais entendu d’agriculteurs se plaindre d’une éventuelle dissémination croisée d’une variété vers une autre. En dehors du fait qu’avec des variétés conventionnelles, il aurait été pratiquement impossible de le démontrer, il est nécessaire de connaître les éléments suivants :
1) le maïs ne peut se croiser qu’avec du maïs (toujours utile de rappeler des évidences).
2) s’il y a dissémination, et dans les cas où elle a été mesurée c’est toujours avec des taux très faibles (plutôt voisin de 0,1% que de 1%). Les raisons en sont les suivantes :
3) le pollen de maïs est une particule petite et dense, si bien que 95% du pollen tombe dans un rayon de 5m autour de la fleur mâle, une fois tombé, la probabilité qu’il soit re-soulevé et aille un peu plus loin est très très faible.
4) Admettons même que le pollen poursuive son chemin, sa durée de vie biologique n’est que de 2 heures et encore faut-il qu’il retombe sur une fleur femelle au bon stade de précocité donc selon toute vraisemblance le même hybride F1 (pour vous aider à comprendre, on peut parler de la manière dont on fait les enfants : d’une part, les spermatozoïdes ont, tout comme le pollen, un pouvoir fécondant limité, mais la femme n’est réceptive qu’un court moment également lors de son cycle menstruel).
5) Admettons que toutes les conditions soient réunies, alors quelques grains de pollen vont aller féconder des fleurs femelles du champ de maïs voisin (voire même un peu plus loin). Ce qui veut dire qu’à chaque fécondation croisée correspondra sur l’épi un grain qui ne sera pas l’hybride attendu.
6) Enfin écueil final, d’une part, et en raison de la culture de maïs hybrides, les lois de Mendel nous apprennent qu’il ne vaut mieux pas re-semer sa récolte et c’est effectivement ce qu’il se passe. Jamais l’agriculteur ne va s’amuser à re-semer sa récolte. Si vous vous intéressez aux lois de Mendel, peut-être comprendrez vous pourquoi. Ce qui veut dire que toute la récolte part pour la transformation. Le maïs est décliné dans au moins 700 applications différentes... ! donc si dissémination (très faible) il y a eu, celle-ci s’arrête avec la récolte.
7) Imaginons, (catastrophe planétaire), que quelques grains soient restés sur place, soient tombés du camion, emportés par des roues de tracteur ou sous les bottes du cultivateur (mais vous pouvez imaginez d’autres scénarios « catastrophe »), alors, dans le meilleur des cas et si les conditions sont favorables, il va y avoir des repousses... qui seront alors détruites par le froid de l’hiver. Fin de l’histoire, fin de la dissémination tant redoutée !
8) Ah non, j’ai oublié un autre élément de dissémination, sans aucun doute le plus important, c’est celui qui est dû aux faucheurs volontaires (FV) qui eux lorsqu’ils visitent un champ, « s’amusent » à le détruire, le faucher, l’arracher, le piétiner, emportent leur butin dans leur voiture pour montrer à leurs amis leurs trophées de chasse ! C’est sûr que ces grains de maïs, ils sont susceptibles de parcourir de grandes distances. Je n’ai d’ailleurs jamais compris comment les FV pour qui les OGM sont le diable, dangereux, futurs responsables de cataclysme à côté desquels Tchernobyl c’est de la pacotille pouvaient toucher ces plantes... j’espère qu’au moins, ils portent des gants !!!
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OGM : plus d’espoir pour le référendum local dans le Gers
6 avril 2007, par Pitchounet
On connait le discours par coeur : "les gens ne connaissent rien, seul les spécialistes savent, et ne vous inquiétez pas, ils oeuvrent pour le bien commun !".
Nous sommes en effet "ignorants", mais nous pouvons constater que les pesticides ne sont pas cancérigènes, tout comme l’amiante. De meme, la radioactivité, comme celle de Tchernobyl est parfaitement controlable et sans danger.
L’impact des gaz à effet de serre sur le climat ne sont qu’un une vue de l’esprit, tout comme la déforestation et la disparition massive d’espèces vivantes, donc de la biodiversité.
La science est certe performante mais elle ne peut etre parfaite. Comment expliquer alors que la science soit incapable de guérir totalement certaine maladie (comme le cancer), alors que vous prétendez connaitre tous les tenants et aboutissants des OGM. Seriez vous plus parfait que les scientifiques qui travaillent sur le cancer ??
Comment pensez vous etre crédible alors que tout le monde reconnait que l’amiante est hautement cancérigène après que tant de monde si bien informé ait dit exactement le contraire ?
En parlant de nouvelles espèces, j’aimerais bien comprendre quel est l’avantage de ces espèces de tomates insipides qui ont chassées d’autres variétés au gout incomparable ? J’en entrevois quelques uns, notamment tout ce qui favorise l’exploitation (sous serres), le transport, la mise en rayon et l’uniformité ... tout cela en faisant croire que c’est le désir du client.
Par contre, le fait qu’elles n’aient aucun gout, qu’il faille chauffer les serres, les transporter sur des distances délirantes et j’en passe sur les intrants ou autre petite réjouissance, de tout cela, il n’en est jamais question.
On peut se demander où est le bénéfice d’avoir créer ce genre de variétés alors que tout ce qui les entoure est très négatif( pollution chimique, perte du gout, génération de gaz à effet de serre).
Vous semblez etre convaincu que la création de nouvelles variétés est essentiel. Je ne remets pas cela en cause, mais faites vous aussi des recherches sur les impacts, au sens large, de vos inventions ?
Non, bien sur, vous n’en avez pas les moyens.
Certains chercheurs ont constatés des formes de cancers inexplicables sur des baleines dans des mers soit disant exemptes de produits chimiques. Elles en avaient dans le sang mais pas façon dramatique. Alors ils ont eu l’idée de regarder si ce n’était pas le cumul de plusieurs produits chimiques qui provoquaient ces cancers et ... bingo, c’est la conclusion qu’ils ont eu.
Et oui, jamais aucun chercheur n’avait eu cette idée géniale : regarder si deux molécules chimiques fixées dans le corps d’un etre vivant ont des impacts différents que quand elles sont seule !
Comment pouvez vous etre certain que jamais aucune plante sauvage ne récupèrera jamais un gène de résitance à un herbicide, comme dans le cas du colza et de la moutarde sauvage ?
Au fait, je n’ai pas trouvé le mot démocratie dans votre 2ième réponse, mais cela doit etre un détail pour vous ....
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