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Unef= Union Nationale des Etudiants de France
Le printemps dernier a été marqué par une mobilisation sans précédent du monde éducatif. Les lycéens et les étudiants ont aussi été nombreux à se mobiliser malgré les périodes d’examens. Aujourd’hui, la politique du gouvernement n’a pas changé, un grand débat sur l’école est lancé mais quels moyens concrets sont donnés aux jeunes pour réussir ? Les lycées, les universités n’ont pas changé, pire les conditions de vie se dégradent...
L’Unef est la première organisation dans les universités. Elle se bat pour défendre les intérêts de toute la jeunesse. Ni l’université, ni le lycée, ne sont des mondes à part protégés des évènements extérieurs. C’est pourquoi il est essentiel dès le lycée de s’intéresser à ses droits, de défendre ses acquis, et de se battre pour améliorer le quotidien de tous les jeunes. Parce qu’être étudiant ou lycéen, c’est avoir des droits, et être à l’Unef c’est savoir les défendre !
MOTIVEZ-VOUS LES JEUNES !!! L’ECOLE N’EST PAS UNE MARCHANDISE !!!
Nous avons les moyens d’agir, après les enseignants et les salariés, les étudiants et les lycéens doivent se mobiliser. Pour cela il faut s’organiser, car l’action collective a toujours permis de faire changer des choses...
amélie
Création de l'article : 18 octobre 2003
Dernière mise à jour : 18 octobre 2003
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Le syndicat étudiant
30 mars 2006, par
Le refus du gouvernement a supprimé cette loi inique qu’est le CPE me semble d’une violence insupportable. Pourquoi ne pas envisager un nouveau genre de grève qui serait une grève de la consommation. Par exemple, les gens annuleraient d’un coup l’abonnement de leur portable et ferait un tas des appareils dans un lieu emblématique. Cordialement, Cécile Pichot, demandeur d’emploi
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Le syndicat étudiant
9 mars 2006
vous etes vraiment pitoyable, vous vous faites berner par la gauche revancharde qui se sert de vous comme des pantins pour revenir sur le devant de la scene, bon sang reagissez ne vous faites pas duper une fois de plus........................
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Le syndicat étudiant
20 mars 2006
Etudiants ,vous êtes vraiment manipulés par les syndicats et votre foutoir aujourd’hui avec l’aide du PS PC LCR etc...c’est vouloir déstabiliser ce gouvernement ! Lui a du courage ! Et avant de "brailler", laisser les chomeurs essayer ce CPE ! De GAULE disait des Français "que C’était des Veaux ",il n’avait pas tord !
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Le syndicat étudiant
20 mars 2006
Cela signifie t-il qu’il faut laisser tombé toutes les batailles menées par les générations d’avant qui se sont battues pour le code du travail ???OUi car le CPE est bien un viol du code du travail en ce sens où il ne donne aucun droit et liberté aux travailleurs. Doit-on aujourd’hui accepter tout et n’importe quoi ? Accepter la précarité que ces CPE confèrent ? L’impossibilité d’accès au logement, à l’emprunt, à l’avenir, la peur chaques matins de se faire remercier du jour au lendemain, une indemnité chômage de moins de 400 euros par mois...quand et comment peut-on dans ces conditions construire un avenir stable, fonder une famille et vivre sans la peur au ventre...simplement vivre !!!????
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Le syndicat étudiant
21 mars 2006
A mon avis :Les lycéens feraient mieux de bosser leurs cours déjà ! - Tant que vous y êtes allez mobiliser les classes primaires et les maternelles !et n’oubliez pas les poussettes !! -votre P.S.,pendant des années a mené une politique de droite etvous êtres bernés !la réforme de la sécu ,il l’a abandonnée !c’était plus facile !.... - Vous pouvez vous égosiller, ce CPE sera appliqué, ne vous en déplaise !
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Le syndicat étudiant
10 avril 2006, par
Je ne comprends pas les etudiants qui ont fait greve contre le CPE. J’ai besoin d’explications : Dans ma logique, une forte majorité d’etudiants vont entrer sur le marché du travail apres 25 ans, et ne sont pas touché par le CPE. Par contre combien vont travailler pour une entreprise de moins de 20 salariés, seront embauché avec un CNE, qui lui existe depuis fin Aout 2005 et proposes aux entreprises de moins de 20 salariés d’embaucher n’importe qui, d’avoir une periode d’essai de 2 ans, et peuvent du coup licencier sans motif. J’ai besoin d’explications sur ce point, pourquoi personne n’a bougé pour le CNE, je ne comprends pas la logique.
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Le syndicat étudiant
13 avril 2006, par Fred
Le CNE touche en effet toutes les populations qui veulent entrer dans une société de moins de 20 salariés. N’étant plus étudiant, et ayant une expérience sur l’intégration d’une TPE, je suis à 100% d’accord avec la mise en place du CNE qui me protège beaucoup plus qu’un CDI pendant 2 ans.
Oui, oui, j’ai bien dit "protège". En effet, pendant deux ans, on oublie bien trop souvent que la rupture du contrat peut se faire de chaque coté. Si l’entreprise part en sucette ou que le travail n’est vraiment pas intéressant (ce qui fût le cas), tu peux quitter l’entreprise, tout en percevant une indemnité de départ proportionnelle au temps passé et toucher le chômage ce qui n’est pas le cas lorsque l’on démissionne d’un CDI.
Le CNE favorise FORTEMENT l’embauche dans les TPE qui veulent se lancer (création d’entreprise) et permettent d’avoir un parachute le cas échéant.
En ce qui concerne les 3 de ruptures de CNE dont on n’arrête pas de parler à la TV, il faut savoir que 2 d’entre eux se seraient déroulés de la même manière en CDI car ces ruptures ont eu lieu dans les 3 mois (période d’essai moyenne d’un CDI, qui peut monter à 1 an).
Je vais fonder mon mouvement "Touche pas à mon CNE !".
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Le syndicat étudiant
21 mars 2006, par
Il serait également plus pratique d’obliger le port d’un "badge" jaune à tout les - de 26. N’est-ce pas ?
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Le syndicat étudiant
24 mars 2006
Vous ^^etes bien manipulés par les syndicats, c’est évident !quelque soient vos gesticulations ,le CPE sera appliqué !Et pour ceux qui entreront dans la vie active !vous n’aurez peut- être pas intérêt à foutre le même bordel que maintenant ! Quand je vois cette forêt de drapeaux rouges ,j’ai la nausée !...Vous ne pensez pas être sur la place rouge ?
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Le syndicat étudiant
26 mars 2006
Petit comique.Va donc TRAVAILLER !!!!!!!.......
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Panurgisme médiatique et excitation de la BAC
25 mars 2006, par
Contre la criminalisation des mouvements sociaux !
Répression au centre commercial du Polygone de Montpellier lors de la manifestation du 18 mars 2006
Nous reprenons ci-dessous le témoignage d’un participant de cette manifestation, diffusé sur Indymedia Toulouse et compété par un de nos compagnons de montpellier, témoin lui aussi de la répression.
« Je voulais faire part de mon indignation, de ma stupéfaction, de mon horreur. Lors de la manif du 18 mars à Montpellier, des actes policiers inadmissibles se sont produits. Malgré le service d’ordre, des centaines de manifestants ont décidé d’occuper le Polygone (« temple de la consommation » montpelliérain).
L’entrée dans le Polygone se passe sans anicroches, et l’investissement des trois étages aussi. Mais vient le moment où un homme lance une canette sur une vitrine (une des rares non baissées). Cet homme se trouvait à quelques mètres de moi. Un homme à l’allure ordinaire dans une manif. Au bruit du verre cassé, les vigiles prennent peur : ils sautent sur un bar proche et attrapent des chaises, des tables en fer, et les lancent sur les manifestants coincés dans le Polygone. Les tables volent à 2 mètres de hauteur, un étudiant en reçoit une en plein visage... tout le mobilier semble avoir des ailes, les vigiles lancent sans réfléchir, le mobilier se fracasse sur les crânes des manifestants et des personnes présentes dans le Polygone... En même temps, les vigiles utilisent des gaz lacrymogènes, parfois à 10 centimètres des visages et deux détonations se font entendre, dans le but de faire penser à des armes à feu. Tout le monde court, des femmes accompagnées d’enfants dans des poussettes tentent désespérément de rejoindre les sorties sous une pluie de tables et de chaises...
C’est alors qu’intervient le mouvement de panique : les policiers de la BAC (brigade anti-criminalité) présents dans la manif revêtent leur brassard (et c’est là que je m’aperçois que l’homme à la canette, à l’apparence normale, est un flic ! ) et ces salauds gazent à tout va et balancent des grenades aveuglantes et des gaz lacrymo... Enfants et vieillards sont toujours là... et en prennent plein la figure...
On tente de sortir dans la panique générale. On gagne les portes alors qu’une fille se fait piétiner (la malheureuse est tombée dans le mouvement de panique). On se retrouve sur la place à l’entrée du Polygone face à l’hôtel de ville. On soigne immédiatement les blessés, on met du sérum, le jeune qui s’est pris la table est mal en point, le crâne ouvert apparemment... Les visages sont tuméfiés, les yeux exorbités... On pleure, on vomit, on hurle, on cherche ses amis, personne ne comprend...
C’est alors qu’on les aperçoit. Les CRS arrivent sur la place par l’intérieur du Polygone. Ils ouvrent les portes, et non non non, ils ne se mettent pas en ligne, mais ils sortent avec l’idée d’attaquer directement et poussent tout le monde vers les issues de la place, qui sont étroites. Certains se retrouvent coincés contre un muret donnant sur le vide, comme moi et mon amie, et les coups de tonfa pleuvent... on crie de ne pas frapper, qu’on va s’en aller (un tel mouvement de panique, avec tout le monde qui court, ne permet pas un quelconque acte de bravoure face aux CRS). Heureusement on s’en tire sans trop de casse, seulement des compagnons sont là-bas... et souffrent sous les coups de tonfa bien appuyés et les coups de pied. On a honte de faire partie de ce pays. On court le plus rapidement possible : rassemblement juste devant le Polygone. Alors vous nous direz, oui, mais que foutiez-vous encore au Polygone ? Ben c’est très simple : les lacrymo dans les yeux et les blessures dues aux tonfas ne nous permettent pas d’aller bien loin...
Les CRS bouclent l’entrée du Polygone, le calme semble revenir, mais des femmes sortent du Polygone (qui est en pleine évacuation) en hurlant, leurs gamins sous le bras... la guerre de classe fait rage... les gosses pleurent, ils sont rapidement évacués... et les flics qui sourient... bande de bâtards, sadiques, salauds... je ne trouve plus mes mots... autour de moi c’est une scène d’horreur : y’a du sang, des vomissements, des blessés un peu partout, certains ont les yeux exorbités... on a l’impression qu’ils sont à l’agonie...
Puis vient le bouquet final : un autre mouvement de panique, dû à une intervention musclée de la BAC pour arrêter un jeune homme, pour des motifs inconnus des manifestants, mais que les flics ne tarderont sans doute pas à lui trouver... Le problème, c’est que l’arrestation est : 1° ultra violente, avec des coups portés sur le jeune homme, et en plus, 2° le second agent de la BAC sort un flash-ball de sous le manteau (au milieu de la foule) et tourne sur lui-même, nous mettant tous en joue... on croit rêver... on hurle tous « tirez pas ! tirez pas ! » et cet enfoiré prend plaisir à nous viser.... l’œil au viseur, on s’attend à recevoir une balle a n’importe quel moment... c’est affreux...
Finalement la manif se dispersera quelque temps après...
Bilan :
1) la BAC a brisé une vitrine afin de créer des mouvements de panique dans le Polygone ; 2) la BAC et les vigiles ont frappé violemment, lancé des tables et des chaises et utilisé des gaz dans un lieu public où étaient présentes des familles, un samedi, sans se préoccuper des conséquences ; 3) Ils ont matraqué de façon ultra violente des blessés à terre et nous ont rendu aveugles temporairement par leurs gaz lacrymogènes ; 4) Ils ont mis en joue des manifestants pacifistes et ont procédé à une arrestation ultra violente. Alors, que l’on n’aille plus me parler de « casseurs » chez les manifestants, regardez déjà chez les forces de « l’ordre ».
Encore un bel exemple de liberté d’expression ! Quelle est cette démocratie qui devient dictature quand le peuple conteste (recours à la répression policière, aux lois sécuritaires, à l’état d’urgence... et rappelons que l’ article 16 de la Constitution offre les pleins pouvoirs au président de la république) ? Contre la souveraineté de la nation, la souveraineté du peuple !
Solidarité avec les manifestants arrêtés !
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Pour les luttes étudiantes !
18 janvier 2004
??? L’unef a participé à l’élaboration de la réforme LMD-ECTS, qui a été rejetée par les étudiants en novembre et décembre. C’est une structure financée par l’état et par les facs, inféodée au PS !
De véritables syndicats étudiants existent, orientés vers les luttes, et indépendants politiquement.
Renseignez-vous plutôt de ce côté-là, par exemple avec la Fédération Syndicale Etudiante !
Bases du syndicalisme étudiant
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> Pour les luttes étudiantes !
19 janvier 2004, par
oui ce n’est pas la première fois que j’entends parler des affinités de l’unef pour le ps... et vice versa !
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> Pour les luttes étudiantes !
21 mai 2005, par
Pourquoi critiquer le fait que L’unef est participé à l’élaboration de cette réforme, on combat le système en l’infiltrant. Si l’unef n’avez pas pris part dans les négociations, la réforme serai bien pire. Il ne suffit pas simplement d’être combatif pour avancer, il faut aussi être constructif pour rendre les choses meilleur. Aussi,parce-que les propositions de l’Unef n’aont pas été suffisamment accepter, L’unef c’est donc battu contre la réforme.
Enfin, comme peut on dire que l’on est indépendant politiquement et que l’on défend tout les étudiants lorsque l’on parle de lutte des classes ?
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> Pour les luttes étudiantes !
12 décembre 2005, par
L’UNEF est un syndicat independant de tout parti politique. L’UNEF etait bel et bien affiliée au PS néanmois cela a bien changé. Les camarades les plus anciens de ce syndicat se sont battu pour se defaire de la tutelle du PS et y sont parvenus en 1980.
Aujourd’hui l’UNEF est le syndicat etudiant le plus grand en nombre d’adherents et de sieges au niveau des differentes université. Dans ce syndicat chaque personne a droit a la parole quelque soit ses idées politique car il existe plusiers tendance à l’UNEF.
L’UNEF est en effet financé par l’Etat mais comme tout les autres syndicats etudiants. En effet l’Etat verse 2000€ aux syndicats pour chaque élus aux conseils étudiants. Voilà pourquoi l’UNEF est financé par l’Etat comme l’exige la loi.
L’UNEF s’est impliqué dans la mise en place de la réforme LMD. A l’UNEF, nous pensons que le moyens de parvenir à faire avancé les droits étudiants en commencant par la négociation. N’ayant pas été satisfait lors de la reforme LMD, c’est Tristan Lahaie, président de l’UNEF à Rennes II et aujourd’hui membre du bureau national de l’UNEF, qui a lancé le mouvement de contesytation qui a suivi.
je vous remercie de m’avoir permis d’apporter ces quelques précisions.
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> Pour les luttes étudiantes !
12 décembre 2005, par
ya pas de problème COCO, t’as bien fait ! et ça me fait même plaisir car depuis cet article qui a + de 2 ans, j’ai adhéré moi aussi à l’Unef !! :-p
certes, tout n’y est pas parfait, mais est-ce qu’il existe un seul syndicat, ou même parti politique qui l’est ?? non...
mais au moins à l’Unef, on se bouge et c’est toujours mieux que de ne rien faire et de continuer à maudir le gouvernement dans son coin...
et en + si on veut être écouté il faut qu’on ait une certaine crédibilité qu’on acquiera quand tous les étudiants qui se sentent concernés s’engageront enfin et militeront ensemble !
l’union fait la force, je ne vous apprends rien :-)
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> Le syndicat étudiant
5 novembre 2003, par
A strasbourg, l’UNEF n’a pas voté contre la réforme LMD. Merci à eux pour ce grand courage. Parc contre hier encore, ils diffait pour protester contre ces réformes, mais peut-être est-ce parce qu’il ne sont pas représentées dans les nouvelles instances créées...
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> Le syndicat étudiant
5 novembre 2003, par
là je dois avouer que je ne suis pas trop au courant...
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> Le syndicat étudiant
22 octobre 2003, par
Je suis tout à fait d’accord avec Amélie, les conditions de vie et d’études ce sont bien dégradées surtout depuis que l.Ferry nous fait le grand chambardement, un exemple simple et proche de moi :le nombre de surveillants dans mon lycée a fortement baissé provoquant un nombre incalculable de répercutions sur notre vie (nous avons l’impression d’être dans un lycée fantôme), en dehors des cours il n’y a plus de vie ce qui est d’autant plus embêtant que mon lycée possède un internat.
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> Le syndicat étudiant
23 octobre 2003, par
et un exemple de ma part : 32 par classe en terminale... ça fait réfléchir non ?
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> Le syndicat étudiant
23 octobre 2003, par
Il y a donc bien des sujets sur lesquels vous pouvez vous retrouver, "les jeunes" !
Je suis convaincu que ce n’est qu’un début !..Vous venez d’entrer sur la route qui mène plus loin ...
Courage ! En bas, à gauche, A.L.
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> Le syndicat étudiant
14 janvier 2004, par
moi pour information, dans mon bahut chaque année ca empire cet année on est 35. autant dire que quand tous le monde s’asseoit y’a pas une chaise de libre........
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> Le syndicat étudiant
3 février 2004, par
Personnellement je ne suis pas contre une réforme de l’éducation bien que je ne connaisse pas vraiment entièrement celle proposée pas Ferry. Mais à mon avis pour les étudiants en FAC, IUT ou IUP (et d’autres... ?) le plus gros problème serait le désinterête total des profs vis à vis de leur responsabilité. Surtout dans les examens et autre système de notation : Qui ne s’est jamais retrouvé à avoir une copie où il manquait des points ? Qui n’a jamais eu un sujet de partiel où il tranaît des erreurs que les profs n’ont pas voulu reconnaître ? Qui n’a jamais eu un contrôle bidon qui n’avait que peu de rapport avec la note obtenu mais là uniquement car il fallait une note ? Ou un barême tellemnt allambiqué que c’est à se demander ce qui est noté ? Ou un anonymat qui n’en est pas un... Il y a certainement d’autres exemeples de ce genre mais je ne les ai pas tous en tête. Bien sûr cela tourne uniquement autour des notes et lorsque l’on essaie de poser des questions on dit réponds qu’il ne faut pas se préocuper uniquement des notes et qu’il vaut mieux se concentrer sur son travail... que sur 100 copies à corriger il y a tujours quelques trucs qui échappent... Mais il aut rappeler que nous sommes jugés sur nos notes ! Qu’elles servent de reflet à notre travail et surtout à valider les diplômes !! Si elles sont prises nos copies sont corrigées à la légère c’est nous qui sommes directement pénalisés. Combien ai-ke entendu d’étudiants qui savaient pertinament que la correction était boîteuse mais qui n’osaient rien dire car "on a encore ce prof le prochain semestre je ne voudrais pas m’attirer d’ennuis... Je me rattraperai ailleurs..."
Où va-t-on ? Si nous ne disons rien cela va continuer et dans 10 ans quand la moitié de nos notes sront bidons qui jugera de notre travail ?
Bref si vous vous sentes un peu concernés n’hésitez pas à me répondre et surtout à faire passer le message.
GD
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> Le syndicat étudiant
3 février 2004, par
moi je me sens tout à fait concernée !! je vais surement aterrir à la fac l’année prochaine, et ce que tu me dis n’est pas très rassurant... en + je compte faire un iup...
mais la situation est réellemment grave ? ou il y a des exceptions dans certaines facs ?
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> Le syndicat étudiant
3 février 2004, par GD
Pour tout dire moi j’ai un tout essayé : FAC IUT IUP et même j’ai fait 6 mois de prépa... A mon avis si tu veux pas avoir de problème oriente toi plut^to dans des structures où les étudiants sont vraiment pris en compte... Malheureusment ça te ramène vers le privée... un peu désolant...
Mais bon je ne crache pas sur les profs et durant ces 3 ans et demi j’ai tout de même rencontré quelques trés bons profs. A mon avis le problème vient surtout du système français d’enseignant-chercheur... Trés interressant en apparence mais souvent ils sont surtout chercheurs et enseigner leur fait perdre du temps..
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> Le syndicat étudiant
3 février 2004, par
oula c’est pas très rassurant tout ça... moi qui me prend déjà assez la tête pour mon orientation !
c’est sur qu’il doit y avoir des exceptions mais si on doit construire nos études sur l’espoir de les rencontrer c’est pas la peine... tu es (a été) à quelle fac ? tu connais la fac du mirail à toulouse ?
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> Le syndicat étudiant
7 juillet 2004
L’UNEF n’a qu’un seul rôle : faire en sorte que rien ne barre la route à la privatisation de l’université en brisant systématisquement les mouvements étudiants(comme il l’ont fait en nov-dec 2003, main dans la main avec la direction de sud étudiant).
Pour riposter, une seule solution, construire la FSE :
www.luttes-etudiantes.com
Le site de la Fédération Syndicale Etudiante
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> Le syndicat étudiant
12 décembre 2005, par
Je me dois de nouveau de réagir à d=ce message de nos adversaire de la FSE. Aujourd’hui je suis dans une fac de la région parisienne, "de l’autre coté du periph" là où il faut en construire car il n’en existe pas selon notre ministre De Villepin. Le budget de ma fac souffre d’un manque de 6 millions d’euros, soit un tiers de son budget. Seul l’UNEF se mobilise pour defendre les droit étudiants en appelant à rejeter ce budget innaceptable. En effet, ce manque entrainerait une hausse des frais d’inscription, des fermetures de filières non rentables (lettres, histoire, socio...) et même, le fermeture de la fac durant certaines periodes pour ne pas payer le chauffage. L’UNEF à la fin de sa lettre ouverte (ainsi que dans une motion déposée au CA) demande donc un reinvestissement de l’Etat dans l’enseignement supérieur. EST-CE LA UNE ATTITUDE VISANT A PERMETTRE LA PRIVATISATION DE L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR.
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> Le syndicat étudiant
8 mai 2006, par anthony (sympatisant de la FSE)
Pour ma part, je ne pense pas que l UNEF a eu un role plus important dans le pourrissement/avortement de la/des luttes etudiantes que la la CGT ou la CFDT au niveau des travailleurs. ils en sont tout autant responsable ! actuellement, y a t il un syndicat, etudiant ou travailleur, qui appuie la lutte ou qui cherche a renverser cette logique de precarisation liberale dont les gouvernements successifs font preuves ? peu, tres peu ! aujourd hui, leur seul role est d encadrer nos luttes, a nos depend & au bonheur du patronat. c est pour cela que je ne suis pas syndique. je ne suis que sympatisant de la FSE (seul syndicat de "lutte" present sur ma fac), meme si je dois admettre, que leur mode de fonctionnement permet une marge de manoeuvre assez importante aux militants. cependant, les syndicalistes ne reussissent que trop bien a nous canaliser. ainsi, je dois reconnaitre, a contre coeur, que nous avons ete manipule, comme toujours, part ces syndicats qui se disent avec nous mais qui en realite nous denigre car nous ne rentrons pas dans cette categorie de gens qu ne font que murmurer leurs idees (quand elles sont d eux) sans jamais se donner les moyens de les concretiser.
mais la critique est facile, aussi faut il concretiser cette idee de mettre en place des structures associatives dans toutes les facs, independantes de tous syndicats pour permettre la mise en place des luttes futures & de maintenir une pression face aux administrations & aux politiques sans pour autant devoir suivre une ligne directrice plus que moderer & se reveiller un beau jour dans la peau d un ex "2006ard".
pour finir, je tiens juste a rappeler que si le mouvement s est eteint (car il faut dire ce qu il est), c est en grande partie due aux syndicats tels que l UNEF (dont la TTE), la CGT,etc ; aux media, aussi bien nationnaux que les autres, car on peut dire ce que l on veut, TF1 n est pas le seul a avoir focaliser le mouvement sur le CPE ; & aux partis, aussi bien le PS que le PCF.
ps : "vous decredibiliser le mouvement", phrase que l on a pu entendre a de nombreuses reprises dans les manif. qui a dit que le mouvement etait pacifique ? a quoi sert il de lutter si ce n est que pour encaisser les coup ? je pense que le mouvement ne s est vraiment decredibiliser qu lorsque les syndicats, etudiants & travailleurs encore une fois, ont annoncer la mort du mouvement a la suite du discour de Mônsieur de villepin.
desole pour la longueur du post.
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