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Licenciement pour le port d’un bermuda |
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L’affaire Sagem c/Monribot (licenciement pour le port d’un bermuda) a eu lieu le Jeudi 12 janvier 2006 au Tribunal des Prud’hommes de Rouen en départage des voix.
Quatre ans et demi après, le conseil de prud’hommes a estimé que "les limites apportées par l’employeur au comportement du demandeur n’ont nullement porté atteinte aux libertés essentielles du salarié". Solidairement avec la CGT de Seine-Maritime il a été condamné à payer 300 euros à la Sagem, en application de l’artice 700 du code de procédure civile, pour les frais causés par l’action en justice. Cédric Monribot, soutenu par la CGT, a annoncé qu’il "poursuivra son combat" et fera appel de la décision.
J’ai constitué un petit dossier de presse consultable sur mon blog dont l’adresse est la suivante : http://www.bermuda.canalblog.com abordant différents sujets pour comprendre en profondeur cette affaire... de l’histoire d’un vêtement, de sa décense et de la bienséance, accompagnés d’argumentaires juridiques (dont l’avis de l’Avocat général de la Cour de Cassation Maître Lyon-Caen, partisan de ma réintégration dans l’entreprise) et bien sur les affaires.
Pour mieux comprendre cette affaire classée « Défense Sécurité », à partir d’un incident mineur, hypothétique, de nuire à l’image de marque de SAFRAN ( ex-SAGEM) mais surtout par le fait de ne pas respecter leurs valeurs fondamentales... il s’avère que finalement, et pour cause, durant ces 4 ans, leur « liberté essentielle » est d’accumuler les affaires. Jugez plutôt :
AIRCELLE filiale de SAGEM : délocalisation « occulte »
PROJET FELIN (BOYE) : détournement brevet secret défense
Corruption au Nigéria , au Ghana, au Kenya
Procès UFC QUE CHOISIR contre SAGEM
Dossier occulte concernant TPS (M6 et TF1) sur le site où je travaillais près de ROUEN
Sans oublier les nombreux dysfonctionnements soulevés par le médecin du travail, sur le site de Saint Etienne du Rouvray (76 Rouen), où je travaillais. Ce qui peut tuer à en constater les différents écrits. Une fois de plus, face à cet état d’urgence sociale, j’appelle de manière forte et persistante à la désobéissance civique et continue à revendiquer (avec bien sûr des associations comme le DAL, AC !, les Faucheurs d’OGM,....) nos droits les plus élémentaires tels que :le droit au logement, droit à la nourriture, transports gratuits, droit au travail, droit à la santé, droit à l’éducation, droit à l’expression.
Avant d’être « l’homme au bermuda », je suis un citoyen qui veut nettoyer au karcher ces racailles de patrons voyous qui nous font crever à petit feu (voir blog, rubrique « le travail tue plus que la guerre ») avec bien sûr la complicité de nos gouvernants.
Voila ma liberté essentielle : vivre décemment
Auteurs divers
Création de l'article : 19 janvier 2006
Dernière mise à jour : 19 janvier 2006
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