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Juillet 2007 Bretagne OGM |
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Réunion publique de Hédé,Redon
Bonjour,
Nous avons essayer de faire paraître ce texte dans les journaux
Peine perdue ! En allant vers vous va t’on avoir, peut-être, plus de chance ?
On ne veut pas écrire à Borloo ! On veut écrire à la population !
Juillet 2007 Bretagne OGM
Réunion publique de Hédé,Redon concernant les OGM (organismes génétiquement modifiés).
Il a été beaucoup question de responsabilité OGM lors de ces soirées. Il a été évoqué que l’agriculteur n’est pas le propriétaire de l’OGM. Il l’utilise simplement, il ne peut l’acheter, il utilise une technologie qui ne lui appartient pas. Le Brevet fait foi et la question contre qui dois-je me retourner lors d’un litige sur un OGM. La réponse est simple « le propriétaire » L’utilisateur qui peut être l’agriculteur n’a de compte à régler qu’avec le propriétaire « agriculteur sous contrat d’utilisation ». Le responsable d’une technologie étant son constructeur, l’OGM étant avant tout une construction. L’organisme vivant reconstruit et transformer devenant un Objet, un Objet vivant. La firme technologique distribut l’Objet se servant de « l’agriculteur » uniquement comme bouclier agricole afin de faire passer l’inutilité technique agricole de l’OGM, au seul profit de la firme propriétaire du Brevet. La réflexion principale doit porter sur : Pourquoi ne sème t’elle pas elle-même sont produit GM (génétiquement modifié) la firme technologique ? Elle le fait en faite ! Le contrat de la firme efface l’agriculteur devenant otage en n’attribuant aucune marche arrière, seulement des contraintes.
On voudrait rajouter une chose au vu des débats trop court à l’intention du conseil régional, entre autre représenté en partie par Pascale Loget lors de ces réunions. Elle, a mis un poing d’honneur à énumérer les subventions agricoles
Ce que nous en disons :
Un agriculteur n’est pas propriétaire de part le brevet de la science GM. Il est uniquement l’utilisateur locataire d’une plante en viager en fin de vie construite technologiquement. L’utilisateur n’étant pas le propriétaire de la technologie breveté il ne peut recevoir de subvention sur et vu la non propriété de cette construction. La subvention venant du contribuable (en majorité négatif aux OGM) ne pouvant être attribué à une firme technologique. Ou nous pouvons concevoir facilement l’assurance aisé de cette firme à en rétribuer ces actionnaires à l’aide de l’obole public subvention (théorie actuel). Il est aujourd’hui donc normal, technique oblige, d’attribuer les subventions à un propriétaire sur la base de ce qui est cultivé, semé en rapport de la surface utilisé et du type de mise en place de la culture. On en comprend aisément pourquoi l’OMC veut faire baisser les aides directes (pour une honnête concurrence ??). Il y a un litige dans la destination de la subvention n’étant pas l’agriculteur qui la reçoit mais la firme technologique via l’agriculteur. A vous ici de prendre note que l’écart des subventions entre biologique et conventionnel se trouve déjà être énorme. Un maïs MON 810 subventionné au « sous traitant » renchéri le grain et créerait un gouffre dont l’agriculture biologique sera encore laisser pour compte. Sans vous compter les risques et le manque à gagner d’une simple suspicion stupéfiante d’un Bio-GM dans l’assiette.
On conçoit qu’une plante puisse être subventionnée. Est-ce que l’on peut concevoir qu’une construction, un Objet Génétiquement Modifié privé peut être subventionné ? L’intermédiaire donne bénéfice à une firme, une multinationale de l’agroalimentaire. Ce bénéfice ne serait-il pas un détournement agronomique, un cercle non vertueux économique ?
Ma question aux élus : Comment mesdames messieurs, aller vous gérer ceci ?
Association : « l’Etat Nature de Nature » etat.nature.ogm_v2i_free.fr
Christian Grasland (apiculteur 35)
Merci,
Abeille
Création de l'article : 10 août 2007
Dernière mise à jour : 8 août 2007
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