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Quand c’est fini...çà recommence ? |
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A l’instar de la belle chanson du grand Léo, la Terre, tout comme les espèces qui y vivent, aurait-elle un cycle ?
De bien curieuses coïncidences viennent de se faire jour.
En effet, un groupe d’astrophysiciens réunis en Floride à Fort Lauderdale, ont mis en évidence que la Terre était en ce moment en train d’achever sa révolution autour du soleil.
Cette révolution dure 26000 ans.
Ils ont associé à cette fin de cycle un phénomène générateur de perturbations électromagnétiques et cosmo-telluriques gigantesques qu’ils ont identifié sous le nom de « wobble effect » (effet de tressaillement) et qui est supposé précéder de quelques années seulement l’amorce d’une nouvelle révolution.
Or, au lever du soleil du 21 décembre 2012, et pour la première fois depuis 26000 ans, le soleil se lèvera pour se joindre à l’intersection de la voie lactée et du plan écliptique.
A ce moment là, notre planète est censée enregistrer de très violents séismes dévastateurs.
Au niveau astronomie, le 20 mai 2012 nous réserve une éclipse annulaire du soleil, et le 6 juin 2012 sera le second et dernier transit de Vénus du siècle.
Le 13 novembre 2012, nous pourrons voir une éclipse totale du soleil.
Autre coïncidence : sous l’effet dévastateur du réchauffement planétaire, la banquise, comme chacun sait, est en train de fondre à vitesse grand V, ainsi que les glaciers.
Le glaciologue Olav Orheim à déclaré lors d’une conférence consacrée à l’Arctique, le 17 octobre dernier au Palais de la Découverte, à Paris : « Depuis plusieurs années nous avons vu évoluer le réchauffement climatique en Arctique et ce réchauffement s’accélère(…)si nous savons qu’une augmentation de la température de 2° C est supportable pour l’avoir déjà vécu, nous allons aujourd’hui vers des territoires inconnus ».
La banquise dont la surface représentait environ 8 millions de km2 en 1979, est aujourd’hui de l’ordre de 4 millions de km2 provoquant officiellement une augmentation du niveau de la mer de 2 à 3 millimètres par an, soit près de dix centimètres en trente ans, prévisions trop optimistes d’après ce scientifique.
Et c’est sans compter avec la fonte des glaciers.
Or Olav Orheim constate que les glaciers du Spitzberg connaissent les premiers signes du réchauffement, ainsi que le prouve l’apparition récente de nouvelles espèces venues du sud.
Mathématiquement on sait qu’une montée des eaux d’un seul mètre déplacera 100 millions de personnes sur la planète.
Autre coïncidence, un autre scientifique (Orjan Gustafsson) en mission en Arctique a observé récemment d’énormes lâchers de méthane, confirmés par une mission de scientifiques anglais, laquelle a dénombré 250 cheminées à méthane.
Celui-ci s’évacue à gros bouillons par les milliers de trous percés dans le pergélisol, 200 mètres sous la mer.
Or le méthane est un facteur du réchauffement planétaire 20 fois plus important que le CO2 et le potentiel relaché serait de 10 trillions de tonnes équivalent carbonne (soit 3000 fois plus que ce qui a déjà été relaché).
Mais quittons la science pour découvrir une dernière coïncidence.
Les Mayas ont eu 17 calendriers différents, dont certains décrivent les évènements temporels de façon précise pendant plus de dix millions d’années.
Il y a 5125 ans, d’après les écrits Mayas, la planète Vénus était apparue pour la première fois au-dessus de l’horizon terrestre, marquant la naissance du cosmos actuel.
Or les Mayas ont défini un calendrier dont la durée est de 26000 ans. Et il finit le 23 décembre 2012.
Cette date coïncide avec l’arrivée dans notre ciel de la 13ème planète de notre systeme, Nibiru, planète qui nous visite environ tous les 3300 ans. Décrite il y a 6000 ans par les Sumériens, sa réalité vient d’être confirmée par nos astronomes. (Science News 7 avril 2001).
Alors nous arrivons peut-etre à la fin d’un cycle, à la fin de l’année 2012, c’est à dire en 2013.
Tant pis pour les supersticieux qui n’aiment pas le chiffre treize, affirmant que c’est le signe du malheur, celui de la mort, et disons-nous qu’il ne s’agit au fond que d’un recommencement, décrit par les Mayas comme celui de la grande transition.
Mais quel sera le prix à payer ?
Car comme disait un vieil ami africain : « Celui qui n’a pas traversé ne se moque pas de celui qui s’est noyé ».
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olivier cabanel
Création de l'article : 3 novembre 2008
Dernière mise à jour : 3 novembre 2008
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