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Neutralisation de vigne OGM par les Faucheurs Volontaires |
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Communiqué des Faucheurs Volontaires d’OGM
Nous avons fauché cet essai de vignes GM parce que
les champs d’expérimentation d’OGM sont le premier pas d’une démarche commerciale visant à imposer, avec l’aval de la Commission européenne, des cultures actuellement non autorisées, et surtout non plébiscitées ni par la population ni par les professionnels …
cet essai est inutile et inabouti : les fleurs ayant été supprimées, cette étude ne peut statuer sur le possible passage d’éléments du transgène dans le fruit ou le vin.
En conséquence, nous demandons que les fonds publics financent des recherches sur les alternatives de lutte contre le court-noué plutôt que sur des OGM dont on sait qu’ils généreront non seulement une dépendance des agriculteurs, vignerons, et travailleurs de la terre au brevetage sur le vivant, mais aussi des gains phénoménaux pour le secteur privé représenté ici par l’industrie agrochimique.
Enfin, cette démarche est en totale contradiction avec la mission d’intérêt général et publique de l’INRA, et va à l’encontre de l’opinion publique qui refuse toujours à 80 %les OGM dans les champs et les assiettes.
Le Collectif des Faucheurs Volontaires
Contact Presse : 06.61.74.98.61
Articles de presse et autres communiqués
Colmar : 70 pieds de vigne transgénique saccagés durant la nuit à l’Inra
AFP - 15.08.10
Une soixantaine de faucheurs ont saccagé 70 pieds de vigne transgénique dans l’unité de Colmar de l’Institut national de recherche agronomique (Inra) dans la nuit de samedi à dimanche, a-t-on appris auprès des gendarmes. Les faucheurs se sont introduits dans le champ aux alentours de 05h00 dimanche et ont saccagé les vignes avant d’avertir la presse. Policiers et gendarmes sont rapidement arrivés sur place : environ 70 hommes ont pris place autour du champs et ils retenaient toujours les faucheurs dans l’enceinte à 07h00.
"Nous avons agi dans la non-violence, à visage découvert. L’argent public finance les OGM, ces essais s’effectuent en plein champs et nous n’en voulons pas", a déclaré Olivier Florent, l’un des faucheurs volontaires.
L’Inra, qui n’était pas encore joignable dimanche en début de matinée, a déjà connu en septembre 2009 le saccage de 70 plants de vignes OGM sur lesquels l’institut menait des essais depuis 2005.
Colmar : des faucheurs « neutralisent » les vignes OGM
http://www.lalsace.fr/fr/region/colmar/article/3628709,212/Des-faucheurs-neutralisent-les-vignes-OGM.html
La soixantaine de membres du collectif des Faucheurs volontaires d’OGM (Organisme génétique modifié) venus des quatre coins de la France a été entendue dans la matinée au commissariat de police. Vers 5 h du matin, ils ont rallié le biopôle de Colmar où se situe l’unité de recherche de l’Inra (Institut national de la recherche agronomique). À l’aide de pinces, ils ont d’abord sectionné un premier grillage, celui situé à l’arrière de l’établissement pour accéder au laboratoire à ciel ouvert, entouré de grillages hauts de 2 m et dotés de barbelés.
* À coup de bêches et de sécateurs*
Ils ont utilisé des bêches et des pelles pour déterrer les 70 plants de vignes transgéniques avant de les découper en mille morceaux. Ils ont ensuite appelé les médias pour revendiquer leur action. Le système de sécurité --- détecteur de mouvements, caméras de vidéo-surveillance --- a fonctionné ; le commissariat a été avisé par l’Inra de cette intrusion matinale vers 5 h 30. Une trentaine de policiers et 15 gendarmes se sont rendus sur place. Les faucheurs les attendaient, à visage découvert, dans le calme. Ils sont montés sans problème dans un bus réquisitionné par la police pour rejoindre le commissariat où ils ont été entendus, puis relâchés au compte goutte avant 12 h. Plusieurs agriculteurs alsaciens, membres de la Confédération paysanne, ont apporté leur soutien aux faucheurs, en improvisant un pique-nique derrière le commissariat. Sur place, dans l’enceinte de l’Inra, les polices judiciaire et scientifique de Mulhouse et Strasbourg ont effectué les premiers prélèvements.
* « Ce sont des malades »*
Le président de l’Inra, Jean Masson, au bord des larmes et rouge de colère ne cache pas son écoeurement. « C’est gravissime. Ce sont des malades. C’est sept ans de travail qui ont été foutus en l’air. Ces gens-là détruisent l’ouverture d’esprit, la démocratie scientifique et la recherche libre. Ils servent l’obscurantisme ». Selon Olivier Lemaire, responsable scientifique de l’essai, parle, lui, de « vandalisme absolu. C’est un troupeau de sangliers qui est passé par là. Ils ont détruit le système racinaire », ce qui empêchera, a priori, une réutilisation des porte-greffes transgéniques. « Je ne sais pas ce qui est récupérable », poursuit Jean Masson. « Ils ont tout labouré. Je ne peux pas imaginer tout arrêter. Ce serait donner raison à des obscurantistes violents ».
* « Ce n’est pas une destruction »*
Du côté des faucheurs, on parle plutôt de « neutralisation » des plants transgéniques. « Ce n’est pas un saccage », veut préciser Olivier Florent, membre du collectif et originaire du Vaucluse. « Nous pensons qu’il fallait les neutraliser ». Le seul viticulteur alsacien, Pierre Frick, qui a participé au saccage, ne dit pas autre chose. « Il ne s’agit pas d’une destruction mais de la préservation de mon outil de travail. C’est pour dire : ’’non, on ne veut pas de ça ici ’’ ».
Pour les cinq chercheurs de l’Inra qui suivaient le programme colmarien, le cauchemar continue. En septembre 2009, le militant Pierre Azelvandre s’était introduit dans l’enceinte du laboratoire pour sectionner les 70 plants. Il avait été condamné deux mois plus tard à 2000EUR d’amendes et à un euro symbolique de dommages et intérêt. L’Inra avait fait appel, considérant le jugement trop clément. Cette fois-ci, il n’a pas participé à l’action des faucheurs volontaires.
*Septembre 2009-août 2010*
Le site colmarien avait obtenu au printemps l’autorisation de reprendre les essais qui visent à mieux connaître le système immunitaire de la vigne, en particulier, lorsque celle-ci fait l’objet d’attaques virales. Les opposants aux essais les jugent inutiles et dangereux ; ils considèrent notamment que le virus du court-noué ne constitue pas une grande préoccupation pour les viticulteurs. Les essais réalisés à Colmar sont les seuls de ce type en France. Ils ont permis de mettre sur pied des programmes de recherches « innovants » (en partenariat avec d’autres centres de recherche français) et un système de concertation et de « co-construction » des programmes unique avec des représentants de la société civile.
La relance du programme d’essais devait faire l’objet d’une visite ministérielle. Jean Masson et son équipe devaient en effet accueillir Valérie Pécresse, ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et Bruno Lemaire, ministre de l’Agriculture à la fin du mois d’août.
* Les faucheurs entendus*
64 personnes ont été entendues par la police. Au cours de leur audition, ils ont tous tenus invariablement les mêmes propos : « Rien à déclarer ». Selon la police, ils n’ont pas même expliqué leur geste. La police parle d’un préjudice de 1 million d’euros ; les premières études menées par l’Inra à Colmar remontent à 7 ans.
A cette somme, il faut également ajouter 16 000EUR ce qui correspond à la relance des essais après le feu vert donné en mai par le ministre de l’Agriculture, Bruno Lemaire.
Philippe Vannier, procureur adjoint, nous a indiqué que l’enquête de flagrance se poursuit avant la transmission du dossier au parquet. Les 64 faucheurs seront cités à comparaître individuellement. Jean Daniel Kientz
le gouvernement condamne la destruction de vigne transgénique
Les ministres de l’Ecologie, de la Recherche et de l’Agriculture ont « condamné fermement » la destruction volontaire de pieds de vigne transgénique dans la nuit de samedi à dimanche à l’unité de Colmar de l’Institut de Recherche agronomique (Inra). Les ministres « sont choqués de cet acte de dégradation scandaleux contre un essai exemplaire qui a su associer (...) scientifiques, organisations professionnelles agricoles, collectivités locales et ONG environnementales », écrivent dans un communiqué commun les services de Jean-Louis Borloo, Valérie Pécresse et Bruno Le Maire.
Selon les gendarmes, une soixantaine de faucheurs venus de toute la France ont saccagé tôt dimanche matin 70 pieds de vigne transgénique dans un champ de l’unité de Colmar de l’Inra, dont le président a porté plainte. Les ministres affirment que « ces recherches, menées dans la plus grande transparence, ne représentaient aucun risque, ni pour la sécurité sanitaire, ni environnementale ».« Des conditions strictes ont été prévues pour éviter tout risque de dissémination des transgènes », soulignent-ils, en rappelant que cette expérimentation devait notamment recueillir des données scientifiques sur le court-noué, maladie virale touchant la vigne et pour laquelle « il n’existe à ce jour aucun traitement ». Selon eux, « la recherche en biotechnologies est indispensable à l’avenir de l’agriculture ». Les scientifiques, disent-ils, doivent « pouvoir effectuer leurs travaux en toute sérénité, tout particulièrement lorsque les modalités de l’essai OGM ont fait l’objet d’un large consensus ».
*Bagnolet, le 15 août 2010 _Communiqué de Presse_ : **Arrachage d’un essai de vignes OGM : la fin d’une mise en scène publicitaire ?*
La Confédération Paysanne rappelle son opposition aux essais OGM en plein champ et demande l’arrêt de toute poursuite contre les faucheurs volontaires qui ont neutralisé ce matin des pieds de vigne transgénique à l’INRA de Colmar.
La poursuite de cette opération destinée à faire accepter, par les viticulteurs et les citoyens français qui n’en veulent pas, les recherches sur la mise au point de plantes transgéniques cultivées dans les champs, n’avait aucun sens. Sans fleurs ni raisins qui n’auraient pu être laissés qu’en milieu confiné, cet essai ne pouvait en effet donner aucun résultat scientifique valable sur les risques de transmission de l’OGM au raisin et au vin, ni sur son efficacité dans la lutte contre le court noué après la floraison de la vigne.
La Confédération paysanne conteste le choix de l’INRA de consacrer une telle part de son budget en amélioration des plantes aux seules manipulations génétiques brevetées et de n’attribuer que quelques miettes aux programmes de recherche alternatifs respectant l’intégrité du vivant et sa libre disposition pour tous.
Pour ce faire, la recherche publique doit s’attacher à rester indépendante des pressions de l’argent au détriment de l’éthique, tout particulièrement actuellement. La recherche agronomique doit être centrée sur les besoins réels de l’agriculture paysanne : l’INRA doit redonner à l’agronomie la place qu’elle n’aurait jamais dû abandonner, hier à la chimie, aujourd’hui à la manipulation génétique.
C’est pourquoi la Confédération paysanne travaille avec l’INRA dans d’autres cadres, notamment un comité de liaison constructif qui se réunit plusieurs fois par an. Elle y fait valoir les besoins fondamentaux pour l’agriculture et l’alimentation, les paysans et la société, centrés sur une meilleure connaissance des processus biologiques et des savoir-faire paysans pour donner du sens à une recherche publique et citoyenne.
*Contacts* :
*Véronique Villain*, secrétaire générale de la Confédération paysanne et membre du comité de liaison Inra - Confédération paysanne : 06 12 94 51 18
*Michel **David*, secrétaire national : 06 30 87 21 13
*Guy Kastler*, représentant au HCB : 06 03 94 57 21
*Régis Hochart*, membre du comité de liaison Inra -Confédération paysanne : 06 08 75 00 73
*COMMUNIQUÉ DE PRESSE -* Montredon, le 16 août 2010
Essai de vigne OGM à Colmar : fausses solutions pour faux problèmes
Les Faucheurs Volontaires d’OGM ont mené une action citoyenne de neutralisation de l’essai de vigne OGM réimplanté en Juin 2010 dans la station de l’INRA de Colmar.
Ils ont voulu ainsi répondre à la surdité gouvernementale qui n’a voulu entendre ni les nombreuses critiques des professionnels de la vigne et du vin ni celles de la société civile qui considèrent inutile la poursuite obstinée de cet essai depuis la première implantation de 2005 jusqu’à la première neutralisation de septembre 2009 et malgré son interdiction par le tribunal administratif de Strasbourg en 2009.
José Bové, Vice-Président de la Commission Agriculture et Développement rural du Parlement européen, rappelle deux éléments importants de son point de vue : « Au cours du séminaire de l’Agence Nationale de la Recherche de novembre 2008 sur le programme OGM, il avait été mis en évidence au cours d’une communication que l’essai n’obtenait pas les objectifs visés d’éradication du « court-noué : passage du transgène du porte-greffe au greffon non transgénique ; contamination des plants de références non OGM. Pour moi, ces données auraient dû suffire à arrêter purement et simplement cet essai. Par ailleurs, l’ INRA de Colmar, au cours de la même réunion, reconnaissait la nécessité de travailler plus intensément sur les méthodes alternatives naturelles pour lutter contre cette maladie de la vigne. L’Institut et le Gouvernement ont pourtant persisté. Aussi ne faut-il pas s’étonner de cette action de désobéissance civique à Colmar aujourd’hui que je soutiens. »
José Bové ajoute « Le virus du court-noué est un problème agronomique, sanitaire et de conduite des cultures (absence de rotation) qui peut trouver des solutions innovantes par une recherche participative dont les paysans ont besoin.
Elle doit être orientée vers des alternatives multiples dont les pistes existantes doivent être approfondies, alternatives issues des savoir-faire paysans et de leurs capacités d’organisation en lien avec la recherche et non uniquement de stratégies d’acceptation des biotechnologies OGM par un comité de suivi critiquable et critiqué comme à Colmar.
Plutôt que de le consacrer à la poursuite d’une voie de recherche dans l’impasse, l’argent public serait très certainement beaucoup mieux utilisé pour faire avancer des solutions respectueuses de l’environnement, de la biodiversité et du travail au sein de la filière viticole en particulier en agriculture biologique. »
Logo*José Bové* — Député européen *Michel Dupont* — Assistant Parlementaire _www.jose-bove.eu _
http://www.dna.fr/fr/fil-info/info/3628736-Arrachage-de-vignes-OGM-le-soutien-des-Verts-Alsace
* Arrachage de vignes OGM : le soutien des Verts Alsace*
Dans un communiqué diffusé cet après-midi, les Verts Alsace, par la plume de Jacques Fernique, apportent leur soutien aux arracheurs de vignes transgéniques à Colmar, invoquant un "coup d’arrêt donné à l’essai OGM vignes de Colmar pour sortir enfin de l’impasse de la manipulation génétique".
Pour eux, cette action "s’inscrit dans le combat mené depuis de longues années contre le développement de la manipulation génétique dans l’agriculture" et elle est légitimée par "des considérations stratégiques essentielles".
"L’agriculture se trouve aujourd’hui confrontée à un choix stratégique fondamental : continuer dans l’impasse productiviste en accroissant sa dépendance à l’égard des firmes multinationales de l’agrochimie et de la génétique, ou bien s’appuyer sur le développement des mécanismes naturels biologiques aujourd’hui mal connus au plan scientifique et qui nécessitent un effort absolument prioritaire en termes de recherche publique", écrivent les Verts, qui soulignent que "la société refuse très largement, à juste titre, le développement des cultures génétiquement manipulées".
Cette opération constitue donc, selon les écologistes alsaciens, "une réponse forte à la relance d’un essai OGM qui vise essentiellement à cautionner les expérimentations à ciel ouvert".
D’ailleurs, rappellent-ils, deux ministres devaient être présents lors d’une inauguration "en grande pompe" le 16 septembre. Les Verts concluent en faisant observer que selon eux "cette action spectaculaire ne relève pas de la délinquance mais de la désobéissance civile. Il s’agit en l’occurrence d’une action collective, publique, pleinement assumée par les "faucheurs volontaires", qui vise à défendre l’intérêt général face au lobby de l’industrie des OGM dont la pression à tous les niveaux sur les instances de décision est constante."
La CFDT amère après le fauchage de Colmar*
La CFDT s’est élevée lundi contre l’action menée dimanche matin par une soixantaine de "faucheurs volontaires" opposés à la culture d’organismes génétiquement modifiés (OGM), dans le champ de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) de Colmar. Le syndicat rappelle dans un communiqué que les 70 pieds de vigne transgéniques étaient utilisés "dans le cadre de la recherche sur une maladie de la vigne".
"Cette action anti-démocratique compromet plusieurs années de recherche", s’indigne la CFDT qui appelle à "une condamnation ferme par les pouvoirs publics". L’Inra "avait obtenu toutes les autorisations officielles pour ces essais qui se menaient en accord avec les acteurs de la filière viticole et visaient par transgénèse à lutter contre une maladie dévastatrice pour la vigne dans le monde entier", rappelle aussi le communiqué. " L’expertise française sur les plantes génétiquement modifiées est déjà en retard. L’affaiblir encore c’est prendre le risque de laisser aux multinationales, notamment nord-américaines, le contrôle du monde de la transgénèse", conclut le syndicat.
http://alsace.france3.fr/info/colmar-les-faucheurs-volontaires-d-ogm-assument—64434531.html
AFP | Société 18:54
Les faucheurs de vigne transgénique devraient "être condamnés à rembourser l’intégralité du préjudice qu’ils ont commis", a déclaré lundi sur France Inter la ministre de la Recherche Valérie Pécresse après l’arrachage, dimanche matin, de 70 pieds de vigne transgénique à Colmar.
Pour l’Institut de Recherche agronomique (Inra), "qui a investi des mois et des années d’efforts dans cette recherche qui est indispensable", car on travaille sur une maladie incurable de la vigne, ça a "un coût très important", a-t-elle ajouté.
"C’est à cette aune-là que les faucheurs devraient être condamnés", on doit leur faire payer "l’intégralité des salaires des chercheurs, de l’énergie des chercheurs, voire même la pénalisation de cet espoir que ça représentait, en matière de culture de la vigne, pour tous nos viticulteurs", a poursuivi la ministre lors de l’émission Inter treize.
Dans un communiqué commun diffusé dimanche, les ministres de l’Ecologie, de la Recherche et de l’Agriculture avaient "condamné fermement" la destruction volontaire de pieds de vigne transgénique dans la nuit de samedi à dimanche à l’unité de Colmar de l’Inra par une soixantaine de faucheurs.
Les ministres "sont choqués de cet acte de dégradation scandaleux contre un essai exemplaire qui a su associer (...) scientifiques, organisations professionnelles agricoles, collectivités locales et ONG environnementales", écrivent les services de Jean-Louis Borloo, Valérie Pécresse et Bruno Le Maire.
*Le "Débat de RTL Soir" : bras de fer entre scientifiques et faucheurs, avec José Bové et Marion Guillou.** * à écouter (entre autre) sur cette page
http://www.2424actu.fr/actualite-sociale/les-faucheurs-de-vigne-transgenique-devraient-rembourser-le-prejudice-selon-valerie-pecresse-1257652/#read-1257655
Vu sur le site "univers nature" à propos de la vigne OGM neutralisée :
"Néanmoins, en novembre 2008, un séminaire de l’Agence Nationale de la Recherche avait mis en évidence que le test n’obtenait pas les objectifs visés, tandis que l’INRA reconnaissait alors la nécessité de davantage travailler sur les méthodes alternatives naturelles pour lutter contre la maladie du court-noué".
http://www.univers-nature.com/inf/inf_actualite1.cgi ?id=4344
MaTthieu
Création de l'article : 16 août 2010
Dernière mise à jour : 17 août 2010
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